Est-ce que Montréal a besoin d'un autre type d'enquête sur Charbonneau pour le Syndic OIIQ Myriam Brisson, Martine Dube, Sylvie Turchon et Joanne Létourneau, syndique, toutes supervisées par la présidente Lucy Tremblay? Au cours de la dernière décennie, les membres du Syndic ont été comme une star de l’action dans un film hollywoodien: lancer des boules de feu et donner des coups de pieds. Depuis 2009, ils ont révélé des secrets au sujet de la commission présumée de pots-de-vin visant à tromper les infirmières, des histoires brisées sur les infirmières qui ont pris de l'argent à des groupes qu'elles couvrent et des rapports contestés. Qu'en est-il de ses propres défauts? Au cours de l’année écoulée, les membres de l’OIIQ Syndique ont été comme des vedettes de l’action dans un film hollywoodien: lancer des boules de feu et donner des coups de pieds. Depuis 2008, ils ont divulgué des méfaits secrets, des histoires fictives brisées sur des infirmières prenant de l'argent auprès de groupes qu'ils couvrent et des infirmières infirmières inscrites auprès de l'OIIQ qui, selon elles, ont échoué. Pendant tout ce temps, ils étaient censés prendre des pots de vin pour attaquer des infirmières innocentes travaillant sur le front. La plupart croient que c'est un club de poules. Qui les supervise et leurs propres défauts? Les comportement « méchants" émis par le Syndique tient au fait que la profession infirmière a été lancée par les religieuses et les prêtres et par l’église. Le Syndicat est également connu pour publier des demi-vérités dans sa chronique et confirme rarement les informations qui lui sont données. Appelez cela "abus de pouvoir" ou est-ce pour leur ego? Comme le dit le vieil adage «si ça saigne, ça mène». Est-ce une gestion de la merde de permettre à un déclenchement sans surveillance de la puissance d'être excentré combiné avec une strie moyenne ou les deux? Le temps nous le dira. Après avoir interviewé plusieurs personnes au palais de justice de Montréal, un commentateur a conseillé "J'aime les longues promenades, surtout quand elles sont prises par des gens qui m'énervent". "Son méchant a dit un par norme" car le Syndique semble vouloir sortir les gens en utilisant leur poids et le pouvoir de l'OIIQ. Jon Stewart, du « Daily Show », a appelé le « Power Tripping" un système de propagande de 24 heures basé sur le sensationnalisme, le conflit et la paresse". Professeur Asher, de Montréal, a déclaré que «la liberté de parole et la démocratie ne sont gratuites que pour les propriétaires». L'OIIQ est reconnu par la société comme des individus puissants, demandez à n'importe quelle célébrité ou politicien, mais le pouvoir est une question de perspective. Pour quelqu'un comme la plupart d'entre nous, qui ne sont pas célèbres ou douteux, leur pouvoir est redondant. Lorsqu'ils sont confrontés, seuls et forcés d'opérer du pied arrière, ils semblent en réalité extrêmement vulnérables. Je me suis presque senti désolé pour eux. Presque.